Pour devenir riche, travailler comme consultant est un bon moyen mais avant de se lancer voici les 15 défaut de cette profession. Le mot “consultant” est un peu devenu commun et utilisé à tout bout de champ. Mais la définition de base reste quelqu’un d’extérieur payé pour donner des conseils ». Le consultant se présente sous différentes formes. Il y a les consultants salariés, ceux qui sont indépendant et il y a ceux payés à la tâche heure ou projet. J’ai été consultant dans chacune de ces catégories. J’ai travaillé en tant que consultant salarié et j’ai eu un peu de mal avec la politique de mon entreprise. Je suis plus à l’aise en tant qu’indépendant; j’ai un client à la fois pour une période maximum d’un an; je n’ai pas plusieurs clients en même temps et je n’ai pas de supérieur, juste des clients. Avec l’expérience j’ai appris que le rêve de beaucoup de salariés était de devenir consultant. Être prêt au niveau mental est primordial. J’ai vu beaucoup d’idées préconçues sur ce qu’est le métier de consultant ou comment doivent être traités les consultants. Voilà quelques points que j’ai appris Le marché du consulting a beaucoup évolué, c’est la raison pour laquelle il est nécessaire de mettre en place une nouvelle chaîne de valeur. Source Sommaire1 1 – Plus que tout, soyez prêt à être mal 2 – Mais soyez également prêt à être traité 3 – Préparez vous à avoir le pire bureau, le pire ordinateur et les pires 4 – Ne croyez jamais, même si ça fait longtemps, que vos collègues vous voient comme un 5 – Soyez prêt à travailler sans personne pour vous aider. 6 6 – N’importe quelle personne forcée à travailler avec vous se comportera comme si vous travaillez pour 7 – N’importe quelle personne forcée à travailler pour vous, vous en 8 – Tout le monde partira du principe que vous gagnez plus d’argent qu’eux pour le même 9 – Vous entendrez plusieurs fois par semaine des gens vous dire que vous avez besoin d’un emploi stable et un bon CE ».10 10 – Vous ferez des photocopies11 11 – Si vous partez tard, on vous accusera d’essayer de sur-facturer12 12 – Si vous partez tôt, on vous reprochera de vous la couler douce13 13 – La plupart de vos clients seront 14 – Prévoyez du temps pour trouver vos 15 – On vous fera des reproches 1 – Plus que tout, soyez prêt à être mal traité. 2 – Mais soyez également prêt à être traité royalement. La plupart des clients ont une relation mêlant haine et amour avec leurs consultants. Une semaine, vous êtes l’homme de la situation. Une autre, quelqu’un se fait mettre la pression par son supérieur ou entend des rumeurs vous signalant trop à l’aise » et vous serez traité comme un moins que rien. Vous êtes le dernier maillon de la chaîne alimentaire. Même lorsque je travaillais depuis longtemps pour un client dans une relation de confiance et que celui-ci me recommandait à qui voulait l’écouter, je n’ai jamais oublié qu’en fonction du sens du vent je pouvais être encensé ou exécré. 3 – Préparez vous à avoir le pire bureau, le pire ordinateur et les pires fournitures. J’ai travaillé dans des placards, des salles de réunions vides. J’ai aussi été forcé à travailler sans ordinateur pendant des semaines et pour toute une série de raisons je n’ai pas proposé d’utiliser mon ordinateur personnel. Les internes salariés de l’entreprise ont un plus beau bureau. Votre client, chez qui vous travaillez depuis un an, peut-même oublier de vous donner un téléphone ou une boite vocale… 4 – Ne croyez jamais, même si ça fait longtemps, que vos collègues vous voient comme un employé. Vous êtes toujours un externe. Malgré le fait que vous travaillez pour le même employeur, mais êtes juste payé différemment, vous serez toujours étiqueté comme Externe. 5 – Soyez prêt à travailler sans personne pour vous aider. Lorsque j’étais salarié, j’avais une véritable armée de personnes travaillant pour moi. A un moment donné, j’avais une assistante administrative et une secrétaire. En quoi consiste le boulot d’une secrétaire ? S’occuper de porter vos vêtements au pressing. J’avais une équipe de 25 personnes. Lorsque vous avez autant de personnes sous vos ordres, vous n’avez plus à prendre votre stylo pour écrire ou à taper un email – en gros vous passez le plus clair de votre temps en réunion à donner des ordres. En tant que consultant, tout ça est fini. Désormais je dois ramper pour obtenir de l’assistante de mon client qu’elle planifie une réunion; j’ai la priorité 836. Le consultant propose au client de diviser la mission en plusieurs étapes Source 6 – N’importe quelle personne forcée à travailler avec vous se comportera comme si vous travaillez pour elle. Les internes pensent qu’ils sont en charge de donner des ordres à un consultant simplement parce qu’ils ont un salaire fixe au lieu d’être payé à l’heure. Ils veulent aussi s’assurer que personne ne se rendent compte que vous faites un meilleur boulot qu’eux. Si une personne est mon équivalent hiérarchique, il n’est pas concevable que j’aille en réunion à sa place ! 7 – N’importe quelle personne forcée à travailler pour vous, vous en voudra. Je n’ai jamais rencontré un interne pensant qu’il devait travailler pour’ un consultant. Chez mon précédent client, j’avais 5 personnes travaillant pour moi et ça m’a pris longtemps pour arriver à faire passer leurs réticences. 8 – Tout le monde partira du principe que vous gagnez plus d’argent qu’eux pour le même boulot. C’est vrai parce que si vous gagnez 5 000 € par mois pour 80 heures par semaines vous gagnez plus que celui qui gagne 30 € par heure et travaille juste 40 heures par semaines; s’il travaillait 80 heures il gagnerait 12 000 € par mois. 9 – Vous entendrez plusieurs fois par semaine des gens vous dire que vous avez besoin d’un emploi stable et un bon CE ». Ce seront les premières personnes à partir en cas de restructuration, fusion ou délocalisation. 10 – Vous ferez des photocopies Malgré le fait que votre taux horaire soit astronomique en comparaison avec les internes bossant 80 heures par semaine, vous serez toujours le premier à qui on demande d’aller faire les photocopies. Je ne m’en plains jamais mais cela me surprends toujours de penser que l’entreprise souhaite dépenser mon temps et leur argent de cette manière. 11 – Si vous partez tard, on vous accusera d’essayer de sur-facturer mais… 12 – Si vous partez tôt, on vous reprochera de vous la couler douce même si en étant facturé à l’heure, vous ne coûtez pas plus cher à l’entreprise. 13 – La plupart de vos clients seront bordéliques. Pour ce que j’en ai vu, si une entreprise fonctionne bien et que ses salariés sont heureux, elle n’a pas besoin de consultants sauf pour de l’expertise. 14 – Prévoyez du temps pour trouver vos clients. Beaucoup de gens pensent pouvoir le faire mais dès qu’ils commencent, ils détestent ça. 15 – On vous fera des reproches A moins de travailler sur un projet particulier complètement terminé le jour de votre départ, il y aura toujours des gens pour reprocher aux consultants les problèmes qui arriveront même 6 mois après votre départ. Maintenant que les points négatifs sont traités, j’aborderai les 15 points positifs sur le fait d’être consultant ! Note cet article est à la base un article traduit que j’ai adapté 🙂 Rejoignez-moi sur Télégram Retrouvez mes formations ici
Jen’en peux plus de cette vie, je veux rentrer dans mon pays, je veux choisir ma vie maintenant, il n’est pas trop tard : je n’ai que 25 ans. » Un appel resté lettre morte,
Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Cette semaine, un invité exceptionnel, le cinéaste Claude Lelouch qui remonte le temps en se livrant autour de cinq de ses films réalisateur, producteur, scénariste, cadreur et passionné de cinéma, Claude Lelouch est l'invité exceptionnel du Monde d'Elodie toute cette semaine. Celui que le cinéma n’a jamais quitté depuis ses sept ans, période pendant laquelle sa mère le plongeait dans les salles obscures pour échapper à la Gestapo, évoque ses souvenirs heureux et moins heureux. Parmi ses 50 films, on remonte celui de sa vie avec Un homme et une femme 1966, L’aventure, c’est l’aventure 1972, Les uns et les autres 1981, Itinéraire d’un enfant gâté 1988 et Roman de gare 2007. Claude Lelouch, après avoir été l’acteur principal de son père, cinéaste amateur, est devenu celui du documentaire de Philippe Azoulay sorti en mai 2022 Tourner pour vivre. franceinfo Chaque film constitue votre chemin de vie, le temps qui passe. Sandrine Bonnaire dit de vous que vous lui faites penser à Maurice Pialat car vous avez cette vérité et cette même liberté. Vous êtes un homme libre dans vos choix, dans votre façon d'être ? Claude Lelouch Je n'ai pas besoin de demander l'avis à beaucoup de gens pour faire un film. Je me pose surtout la question est-ce qu'il faut le faire ou pas le faire ? Et très souvent, c'est l'irrationnel qui me donne la réponse. Je suis un homme libre. J'ai fait des films d'amateur et les amateurs n'ont pas les mêmes contraintes, les mêmes résultats que les autres. J'ai fait des films pas chers. Quand je suis pauvre, je fais des films de pauvre et quand je suis riche, je fais des films de riche. Je m'adapte en permanence. J’ai l’impression que ce qui vous fait peur, c’est le montage parce qu’il n’y a plus de marche arrière possible. Voilà. D’abord, il y a le film qu’on rêve, il y a le film qu’on écrit et il y a le film qu’on tourne. Et puis il a le film qu’on monte et là, c’est le verdict. Si le film est raté, c’est là qu’on le voit. C’est le moment où vous êtes le plus heureux ou celui où vous avez envie de vous suicider si ça ne marche pas. Vous avez raison, j’ai très peur au moment du montage. Ça fait donc six décennies que vous jouez à la roulette russe et pourtant on a l’impression qu’à aucun moment vous n’avez faibli. Parce que quand on a fait un film qui est raté, on peut en faire un autre. Je n’ai pas fait de films ratés, j’ai fait des films qui n’ont pas rencontré le public. À un moment donné, le public m’a fait cocu, ou c’est moi qui l’ai fait cocu, je ne sais pas. Et quand on est cocu, on est de mauvaise humeur, voilà. Mais, ça ne vous empêche pas de recommencer à draguer. Comment vous définissez-vous ? Comme un homme très curieux. Tout m'intéresse, je suis une concierge. Tout m'intéresse, tout me fascine. Si vous voulez, je suis dans un film d'Hitchcock, la vie est un suspense permanent. Chaque seconde prépare celle d'après. Je n'ai pas le temps de m'ennuyer et il ne faut surtout pas que je m'ennuie. "Je me dis qu'à tout moment, la vie a tellement d'imagination qu'elle va peut-être m'amener sur un terrain auquel je n'aurais pas pensé." Claude Lelouchà franceinfo Il y a un personnage qui est récurrent depuis votre premier tournage, c'est la musique. Il y a une vraie musicalité dans votre façon de tourner. Je pense au compositeur Francis Lai. La musique est vraiment un personnage prioritaire ? Oui, parce que la musique, c'est le langage universel. La musique, c'est ce qui nous rassure. Moi, le premier médicament que je prends quand je ne vais pas bien, c'est de la musique. Et je suis ravi que vous me parliez de Francis Lai. Je l’ai connu grâce à Pierre Barouh qui me dit un jour "Il faut que je te présente un musicien qui a accompagné Edith Piaf, sa musique ressemble à tes films". C’était au début de notre carrière à tous. Et ce petit bonhomme arrive avec son accordéon, un jour comme ça, chez moi. Non pas dans mon bureau, mais dans ma chambre de bonne, mais on n’appelait ça un bureau parce qu'il ne fallait pas faire peur à ceux qui venaient. "Francis Lai est venu avec son accordéon, il a commencé à jouer et là, je me suis mis à rêver comme jamais j'avais rêvé. Il était la personne à qui je racontais mes films, mes histoires." Claude Lelouchà franceinfo Je lui disais écoute, je vais te raconter l'histoire d'Un homme et d'une femme, c'est comme ça que ça a commencé et je lui ai demandé est-ce que tu es capable de me raconter la même histoire avec des notes de musique ? Trois jours après, il m'a rappelé et il m'a raconté la même histoire avec des notes de musique. On avait trouvé une complémentarité qui fait qu'aujourd'hui il me manque beaucoup et tous les films que je vais faire maintenant lui seront dédiés puisqu'il y aura toujours des thèmes de Francis Lai que je vais reprendre. Cette chambre de bonne, vous l'avez toujours conservée indirectement. Il y a pas mal de clins d'œil, notamment dans le film Itinéraire d'un enfant gâté, puisque la fameuse scène entre Richard Anconina et Jean-Paul Belmondo est ce tête-à-tête, tourné dans une chambre de bonne à Paris. On a fait le tour du monde avec Itinéraire d'un enfant gâté. On est allés dans les plus beaux endroits et la scène dont tout le monde se souvient, c'est une scène tournée dans une chambre de bonne. Cette scène n’était pas dans le scénario, elle m'est venue dans la tête, le matin. J'avais écouté une émission de radio, en voiture, en allant sur le tournage et puis il y a un gars qui a dit "La chose la plus importante dans la vie, c'est de dire bonjour". Je suis arrivé sur le tournage et j'ai écrit la scène. Je ne sais même pas qui a dit que c’était important de dire bonjour, mais je me suis dit c’est vrai. Quand vous dites bonjour, c'est comme si vous racontiez votre vie aux gens. Il y a dans le "Bonjour" tout ce que vous êtes. En dehors du César pour Jean-Paul Belmondo, que vous a apporté Itinéraire d'un enfant gâté, qui est un film majeur dans votre filmographie ? Je pense que c'est un de mes films les plus importants dans la mesure où c'est un film sur les contradictions qu'il peut y avoir chez un homme. Et on montre que tout avoir, c'est trop. Cet homme a tout et c’est parce qu’il a tout qu’il s'aperçoit qu'il faut trouver autre chose. Ce film est une synthèse de Jean-Paul et de moi. Au moment où on fait ce film, tous les deux, on traverse une période d'enfants gâtés. Nos films marchent un peu moins, d'un seul coup, le public s'éloigne de nous et donc on se dit "Peut-être que maintenant on fait chier le public. Peut-être qu’il nous a usés et peut-être que le moment est venu de partir". C'est ça dont parle le film. Moi, quand je fais ce film, j'ai envie de fuir. Et je suis vraiment parti avec ma voiture. Puis, arrivé à Fontainebleau, j'ai appelé Jean-Paul en disant écoute, j'ai peut-être une idée de film et je lui ai raconté. Il me dit "Rentre vite, on va faire un film".
Cettesemaine, Lucile conseille, dans sa chronique C'est Compliqué, une femme qui n'arrive pas à savoir ce qu'elle veut dans la vie, mais souffre de la pression venue des autres qui, eux
Chaque mercredi, on parle philo dans SMART JOB. Parce que la philosophie a aussi sa place en entreprise ! Culture du feed back, prise de décision, politique de transparence prenez le temps de la réflexion et de l’analyse dans SMART PHILO.
TopicJe ne trouve pas de sens à la vie (32 ans) Bosser pour enrichir le CAC40 n'est pas un but dans ma vie. Faire la fête, et trouver une chérie oui. J'ai des potes
Tout au long de la grossesse… ou pas Elles n’ont alors pas d’effet sur le bébé ou sur le col et il ne faut pas s’inquiéter et continuer à mener sa vie. » Et comme le rappelle la spécialiste, certaines femmes ne ressentiront aucune contraction jusqu’au jour de l’accouchement, donc pas de panique si c’est votre cas. En effet, Comment faire pour que bébé se décide à sortir ? Le tire-lait. La stimulation des mamelons favorise la sécrétion d’ocytocine hormone impliquée dans le travail et qui donne des contractions. C’est une méthode qui peut s’avérer très efficace. Or Comment faire pour accoucher à 39 semaines ? Comment accoucher plus vite ? Passer beaucoup de temps assise ou couchée. … Essayez l’acupuncture. … Buvez beaucoup d’eau. … Stimulez vos mamelons. … Avoir des relations sexuelles. … Faites une petite promenade. … Relâchez-vous. … Ayez plus qu’un enfant ! d’ailleurs, Comment savoir si l’on va bientôt accoucher ? 10 signes que votre accouchement approche 1/10. Des contractions régulières ? … 2/10. La perte des eaux rendez-vous à la maternité … 3/10. La perte du bouchon muqueux il vous reste un peu de temps. … 4/10. Des envies pressantes d’uriner un indice mais pas une urgence. … 5/10. Des poumons plus légers profitez ! … 6/10. … 7/10. … 8/10. Pourquoi certaines femmes n’ont pas de contractions ? Mais pour certaines femmes, la douleur à l’accouchement n’est tout simplement pas un sujet elles ne souffrent pas. Ou plutôt elles ne ressentent pas ou peu la douleur. Ce pourrait être en raison d’une variation génétique, selon des chercheurs de l’Université de Cambridge. Pourquoi le travail ne se déclenche pas ?Pourquoi certaines femmes dépasse le terme ?Est-il possible d’accoucher sans douleur ?Pourquoi les femmes meurent à l’accouchement ?Comment faire pour declencher le travail ?Pourquoi le col ne se dilate pas ?Comment faire accélérer l’ouverture du col ?Comment accoucher naturellement sans douleur ?Quelle est la douleur d’une femme qui accouche ?Comment faire pour éviter les déchirures pendant l’accouchement ?Est-ce que une femme peut mourir en accouchant ?Quelles sont les chances de mourir en accouchant ?Quels sont les risques d’un accouchement ?Quels exercices à faire pour accoucher plus vite ?Quel aliment pour ouvrir le col ?Est-ce que Marcher aide à accoucher ?Comment dilater le col naturellement forum ?Comment faire pour que le bébé appuie sur le col ?C’est quoi un col court ?Quel est la meilleur position pour faire ouvrir le col ?Comment dilater le col de l’utérus naturellement ?Comment accoucher plus tôt remède de Grand-mère ?Quels sont les produits qui peuvent provoquer une fausse couche ?Aller plus loin Pourquoi le travail ne se déclenche pas ? Si le placenta vieillit, il peut ralentir ou interrompre la croissance de votre bébé. Mais si le placenta agit quand même, votre bébé deviendra éventuellement trop grand, rendant le travail et l’accouchement plus difficiles et d’une plus longue durée. Pourquoi certaines femmes dépasse le terme ? En France, 15 à 20% des femmes ont une grossesse prolongée. Le terme dépassé concerne seulement 1% des grossesses. Pourquoi certaines femmes dépassent-elles le terme de leur grossesse ? Des facteurs familiaux, héréditaires et ethniques entrent en ligne de compte. Est-il possible d’accoucher sans douleur ? 1 femme sur 100 accouche sans douleur naturellement, et c’est génétique. Certaines futures mères sont naturellement protégées des douleurs de l’accouchement, sans péridurale. Pourquoi les femmes meurent à l’accouchement ? En France, l’embolie amniotique est la deuxième cause de décès maternel à l’accouchement, après l’hémorragie de la délivrance. Le liquide amniotique passe dans le sang, provoquant la défaillance de nombreux organes pour la mère. Un phénomène rare mais grave. Comment faire pour declencher le travail ? Voici quelques trucs pour provoquer naturellement votre accouchement. Faites l’amour. Stimulez vos mamelons. … Marchez ou pratiquez une activité qui vous fait bouger. Assoyez-vous sur un ballon d’exercice. Mangez des aliments qui favorisent la dilatation du col de l’utérus. … Consultez un acupuncteur. Pourquoi le col ne se dilate pas ? Parfois, malgré de bonnes contractions, le col refuse de s’ouvrir. Cela peut provenir du col lui-même. Il peut être immature, présenter une malformation ou avoir été abîmé par une intervention électrocoagulations, curetages répétés…. Dans d’autres circonstances, c’est le bébé qui est en cause. Comment faire accélérer l’ouverture du col ? Bouger. Le fait de se s’activer en douceur aide à accélérer la dilatation en augmentant le débit sanguin. Marcher dans la pièce, faire des mouvements dans le lit ou sur une chaise, ou le simple fait de changer de position favorise ce processus, car le poids du bébé exerce une pression sur le col. Comment accoucher naturellement sans douleur ? Voici quelques méthodes que vous pouvez adopter pour accoucher sans douleur . Bénéficiez un maximum de soutien. … Bougez-vous et variez vos positions. … Détendez-vous et laissez votre corps effectuer son travail. … Demandez la péridurale. … Faites-vous masser ! … La sophrologie pour un accouchement moins douloureux. Quelle est la douleur d’une femme qui accouche ? Lors de l’accouchement, la douleur est présente, intense, mais pas insurmontable! L’accouchement se vit une contraction à la fois. La douleur est temporaire et progressive, elle n’est pas continue. Entre chaque contraction, il y a une pause pour permettre à la femme de relaxer et de refaire le plein d’énergie. Comment faire pour éviter les déchirures pendant l’accouchement ? 10 façons d’ éviter les déchirures lors de la poussée Étirez votre périnée. Dès la 36e semaine de grossesse, étirez quotidiennement le muscle de votre périnée. … Aidez votre bébé à descendre. … Éviter la péridurale. … Attendez le bon moment pour pousser. … Appliquez des compresses chaudes. … Faites-vous accompagner d’une doula. Est-ce que une femme peut mourir en accouchant ? Environ 830 femmes meurent chaque jour dans le monde du fait de complications liées à la grossesse ou à l’accouchement. En 2015, 303 000 femmes sont décédées pendant ou après la grossesse ou l’accouchement. Quelles sont les chances de mourir en accouchant ? Aujourd’hui, l’accouchement représente toujours un risque pour la maman, mais cela reste très faible 10,3 décès pour 100 000 naissances vivantes, soit 85 femmes qui décèdent chaque année. Quels sont les risques d’un accouchement ? Des complications pendant l’accouchement Infection materno-fœtale, inhalation de liquide amniotique, maladie des membranes hyalines ou détresse respiratoire chez le nouveau-né L’accouchement prématuré une naissance prématurée se caractérise par un accouchement avant 37 semaines d’aménorrhée. Quels exercices à faire pour accoucher plus vite ? Si cela est possible, se lever et marcher, monter des escaliers, faire le ménage… Ces mouvements pourront renforcer les contractions et accélérer le travail. En effet, rester debout et actif encourage le bébé à descendre vers le col de l’utérus et l’aidera à bien se positionner pour le moment de l’accouchement. Quel aliment pour ouvrir le col ? Pour accoucher plus vite, il est donc conseillé de boire de la tisane de feuilles de framboisier, de manger des dattes, ou encore de l’ananas ou encore des fruits secs ou des pruneaux. Ces aliments sont riches en fibres et renforceront votre utérus et vos muscles pelviens pour faciliter l’accouchement. Est-ce que Marcher aide à accoucher ? Suivant le même principe que la marche rapide, les escaliers et les promenades en voiture, faire des bonds sur un ballon de naissance favorise la descente de bébé dans l’utérus et vous prépare physiquement à l’accouchement. Comment dilater le col naturellement forum ? Autre astuce au lieu de prendre l&rsqu ;ascenseur, montez et descendez les escaliers plusieurs fois par jour, cela augmentera la pression sur le col. Vous pouvez enfin utiliser un ballon de maternit&eacut ;. Rebondissez plusieurs fois sur le ballon, cela favorisera la descente du b&eacut ;b&eacut ;. Comment faire pour que le bébé appuie sur le col ? Marcher en fin de grossesse Le but de faire une marche en fin de grossesse est de rester debout, ce qui aide à faire descendre le bébé et qui le garde appuyé sur notre col. Faites une marche rapide afin de profiter de l’exercice, tout en vous oxygénant. C’est quoi un col court ? Cette particularité se caractérise par une ouverture excessive de l’orifice interne du col utérin, c’est-à-dire celui qui se trouve du côté du fœtus. Résultat le col est trop distendu pour assurer correctement son rôle de verrou, et cela même en dehors de contractions utérines prématurées. Quel est la meilleur position pour faire ouvrir le col ? La position à califourchon peut augmenter la fréquence et l’intensité des contractions et facilite la descente du fœtus dans le bassin maternel. La position assise augmente la pression du fœtus vers le bas. Le position à genoux ouvre le bassin, la pesanteur dirige le fœtus dans la bonne direction. Comment dilater le col de l’utérus naturellement ? L’eau exerce un effet relaxant sur les muscles et décontracte les fibres musculaires, ce qui permet la bonne dilatation du col de l’utérus. Comment accoucher plus tôt remède de Grand-mère ? La méthode la plus simple pour provoquer le travail est de BOUGER. On s’active, on marche, on monte et on descend les escaliers. La tête du bébé va ainsi exercer une pression sur le col de l’utérus et favoriser la sécrétion d’ocytocine qui est l’hormone de l’accouchement. Quels sont les produits qui peuvent provoquer une fausse couche ? Limiter sa consommation de boissons contenant de la caféine café pas plus de trois tasses par jour, colas, thé, maté, chocolat, etc. Ne pas consommer de drogues, en particulier l’héroïne, la cocaïne et les dérivés des amphétamines. Aller plus loin Référence 1 Référence 2 Référence 3 Référence 4 Reference 5
Désireuxde voir la Transition écologique solidaire en général et les usagers d’Enercoop en particulier devenir majoritaires dans ce pays, comme je l’ai expliqué à l’AG d’enercoop, Cyberacteurs souhaite mettre en place le projet transacteurs le réseau économique et social des acteurs de la transition écologique solidaire.
“Je peux être changé par ce qui m’est arrivé. Mais je refuse d’en être réduit à cela.” – Maya Angelou La résilience est la capacité à rebondir face à des situations difficiles et d’éviter de céder à l’impuissance. Nos vies sont remplies de changements inattendus et parfois de virages à 180°, de moments troublants voire traumatisants. Certains de ces changements ou moments seront anecdotiques, tandis que d’autres peuvent remettre en question notre existence. Dans tous les cas, un état d’esprit résilient vous aidera à mieux gérer ces situations mais aussi votre stress, à diminuer la probabilité de développer une dépression voire même de vivre plus longtemps. Cela vous permettra d’apprendre de vos expériences et de cultiver un optimisme réaliste en prenant soin de vous après un échec, en continuant à aller de l’avant dans votre vie quotidienne. Voici quelques méthodes pour reprendre les rennes de votre vie, et vous préparer à accepter les moments difficiles. Pour savoir si vous êtes résiliente ou non, voici ci-dessous un petit questionnaire interactif basé sur le CD-RISC-10 le test de référence en psychologie pour la résilience en 10 questions Test de résilience Êtes-vous capable de surmonter les difficultés ? 1. Faites face aux situations difficiles Il est souvent compliqué de rester calme dans les moments de difficulté, le stress vous empêchant de voir la situation avec lucidité. Gérer votre stress vous aidera non seulement à gérer les difficulté avec plus de sérénité, mais aussi à garder la tête froide et à affronter ce qui vous arrive plutôt que de fuir ou chercher à ignorer la situation. Si vous êtes surmenée et fatiguée, regardez s’il n’y a pas des tâches que vous pourriez retirer de votre agenda. Faites des activités agréables qui vous permettent de vous détendre complètement, et programmez-vous un moment spécifique pour le faire. Considérez d’ailleurs le stress comme un signal d’alarme, si vous êtes stressé c’est que quelque chose vous inquiète, il est donc temps de s’y attarder et de régler la situation. Par exemple, au lieu de vous dire “Je n’ai pas assez de temps”, dites-vous “Je sais que je peux le faire, je dois juste m’organiser différemment.” Méditer vous aidera également à faire le vide dans votre esprit et à diminuer votre stress. Des études ont montré qu’à peine 10 minutes de méditation peut vous relaxer autant qu’une heure de sommeil et vous aider à affronter vos problèmes. Si vous avez l’impression d’être débordé ou au bord du burn-out, méditer vous aidera à ralentir et garder le contrôle de la situation. Une autre alternative est le yoga, une étude de l’école de médecine de Harvard semble montrer que les personnes pratiquant le yoga sont moins sensibles aux accès de colère et plus à même de gérer les difficultés dans leur vie. Lorsque vous pratiquez le yoga et notamment en prenant des postures difficiles, cela vous pousse à développer votre endurance et ainsi votre capacité à “tenir bon” dans les moments difficiles, en trouvant les ressources qu’il faut pour rester calme et déterminé. N’hésitez pas non plus à vous faire soutenir si besoin, maintenir de bonnes relations avec des proches ou des amis vous aidera à recevoir l’aide et le soutien dont vous aurez besoin lorsque les choses se corseront pour vous. Vous pouvez également compter sur les thérapies ou toutes les sources d’aide dont vous avez besoin, ce n’est pas un signe de faiblesse de demander de l’aide, c’est même l’inverse. 2. Cultivez votre résilience Passer à l’action et attaquer de front vos problèmes favorisera votre capacité à faire face aux situations difficiles. Rester dans la passivité à ruminer des pensées et des idées négatives ne fera pas disparaître ce qui vous angoisse. Si par exemple personne ne veut publier le roman que vous avez écrit, cela ne signifie pas que votre valeur se mesure dans la qualité de votre travail. Vous n’êtes pas la somme de votre travail, vous avez les capacités d’obtenir ce que vous désirez. Soyez fier d’avoir déjà mené à bien ce travail, et persistez dans votre voie ou bien essayez quelque chose de nouveau. Si vous avez été licencié, ne vous laissez pas abattre et cherchez immédiatement un autre emploi. Profitez-en pour trouver quelque chose qui vous apportera plus et qui vous rendra plus heureux, même si cela implique de changer de carrière. Vous n’en n’avez pas l’impression aujourd’hui, mais dans quelques années vous être fait licencier sera sans doute la meilleure chose qui vous soit arrivée. Pensez aux côtés positifs de la situation et construisez une solution qui vous convient. Cherchez votre but dans la vie. Avoir des buts et des rêves vous aidera à développer votre résilience. Quels que soient ces buts, petits ou grands, cela vous permettra d’apporter un sens à votre vie et vous donnera suffisamment d’énergie pour continuer à avancer. Faites une bucket-list, c’est-à-dire la liste de tout ce que vous aimeriez accomplir dans votre vie. Gardez cette liste en sûreté et relisez-la régulièrement pour faire le point sur votre progression. Vivez votre vie en accord avec vos valeurs et vos convictions, ne faites pas de concessions là-dessus. Au-delà d’avoir des buts, il est nécessaire de construire un plan pour les atteindre. Que vous cherchiez à obtenir un diplôme, à améliorer votre condition physique ou à surmonter une rupture, cela vous donnera la force et la motivation d’avancer. Faites une liste de tous les objectifs que vous voulez atteindre le mois prochain, dans 6 mois et l’année à venir. Veillez aussi que chaque but soit SMART Spécifique, Mesurable, Accessible, Réaliste et Temporel. Faites le point semaine après semaine, mois après mois pour obtenir ce que vous désirez. Bien qu’il ne soit pas possible de tout planifier, avoir un plan vous aidera à garder une ligne directrice claire et ainsi à augmenter vos chances de succès. Parlez de vos buts à des personnes dont vous avez une haute opinion, cela vous motivera à aller jusqu’au bout d’après certaines études. 3. Adoptez un état d’esprit positif Développer des pensées positives vous permettra de ressentir des émotions positives, ce qui en retour améliorera votre résilience. Bien sûr, il n’est pas simple d’être positif après une rupture amoureuse ou un accident grave. L’important est de rester lucide sur votre situation, car nous avons souvent tendance à amplifier les conséquences des situations négatives. Même si dans un domaine particulier cela ne va pas comme vous le voulez par exemple en amour, regardez s’il n’y a pas des choses que vous appréciez dans les autres domaines de votre vie. Si votre santé n’est pas bonne, pensez à votre entourage, à vos finances, à votre spiritualité, etc. Repensez également à tout ce que vous avez réussi à faire dans votre vie jusqu’à aujourd’hui, quelle place a cet événement négatif sur l’ensemble de votre vie ? Aura-t-il le même impact dans 10 ans ? Prenez le recul nécessaire pour vous libérer de ces émotions négatives. Acceptez le changement. D’après des recherches, c’est même la voie royale vers la résilience. Apprenez à voir les changements comme des défis plutôt que des bouleversements. Gardez un esprit ouvert et ne jugez pas immédiatement les personnes pour leur apparence, leurs actions ou ce qu’ils croient être juste. Cela vous aidera à percevoir le monde différemment et vous apprendrez forcément quelque chose de nouveau. Essayez de nouvelles choses, aussi petites soient-elles. Que ce soit de rentrer chez vous par un autre chemin, lire d’autres genre de livres ou bien vous lancer dans une activité dont vous ne savez rien. Imaginez cela comme une opportunité de grandir, de vous adapter et surtout d’évoluer. Parfois les changements que nous vivons ne collent pas avec nos désirs, pourtant quelques temps après nous découvrons des aspects positifs qui nous avaient échappés sur le moment. N’espérez pas non plus être positif constamment. Notre vie est remplie de moments de joie, de tristesse, de colère et bien d’autres émotions. Accepter que les émotions positives et négatives peuvent cohabiter est très important pour votre résilience. Ne cherchez pas à masquer vos émotions ou à les ignorer, mais prenez le temps de vous retirer pour les ressentir pleinement. Il y aura également des obstacles et des problèmes dans votre vie comme dans celles de tout être humain. Parfois, nous imaginons que nous sommes les seuls à vivre des tragédies, pourtant ce n’est pas le cas. Il vous suffit de faire un peu de bénévolat dans des associations caritatives pour vous en persuader. 4. Développez votre capacité à résoudre les problèmes Ne pas savoir comment gérer vos problèmes vous empêche d’être résiliente. En ayant en tête des méthodes pour solutionner vos tracas, vous deviendrez capable de les résoudre plutôt que de vous sentir impuissante. Voici quelques conseils pour voir les choses différemment Comprenez tout d’abord votre problème. Vous pensez être insatisfaite de votre travail parce que vous n’êtes pas payé assez. Pourtant si vous creusez un peu, vous verrez que c’est parce que vous ressentez que vous ne faites pas ce que vous aimez. Cela ouvrira la porte à d’autres problèmes que celui que vous aviez attaqué au départ. Trouvez plus d’une solution. Il n’y a pas qu’une solution à un problème par exemple quitter votre emploi pour vous lancer dans le bénévolat à plein temps, croire à cela vous créera des difficultés sur le long terme parce que votre solution n’est pas pratique ou faisable. Faites plutôt la liste de toutes les solutions et sélectionnez-en 2 ou 3. Lancez-vous. Evaluez votre solution et regardez à quel point elle vous aide à gérer votre situation. N’ayez pas peur de demander des retours aux autres. Si votre solution ne fonctionne pas, ce n’est pas un échec, mais un apprentissage. Prenez l’habitude d’apprendre de vos erreurs. Concentrez-vous uniquement sur ce que vous pouvez maîtriser et lâchez prise sur le reste. Regardez les apprentissages que vous avez tirés de vos erreurs, mais tout n’est pas qu’une question de malchance. Si vos trois dernières relations ont échoué, il est temps de regarder plus longuement le rôle que vous avez joué dans cet échec. Remarquez les comportements et les phénomènes qui se reproduisent dans votre vie, c’est un bon moyen d’éviter de revoir les mêmes conséquences. Ne rien faire, ne pas agir est aussi une action dont vous êtes responsable. La façon dont vous pensez peut aussi renforcer ou au contraire saper votre résilience. Voyez-vous les événements négatifs comme temporaires ou bien permanents ? Imaginons que vous avez raté un entretien d’embauche. Diriez-vous plutôt “Bon, je n’ai pas eu le job” ou bien “Personne ne m’embauchera jamais de toute façon” ? Avez-vous l’habitude de laisser les événements affecter d’autres pans de votre vie ? Dites-vous “Je n’ai pas de bonnes connaissances sur le sujet” ou bien “Je suis stupide et je ne sais rien d’utile” ? Avez-vous également l’habitude de vous blâmer lorsque tout ne va pas comme vous le désirez ? Diriez-vous “Cette relation n’a pas fonctionné parce que nos valeurs et points de vue étaient incompatibles” ou bien “Il/Elle est partie parce que je ne mérite pas d’être aimé et je ne suis pas une bonne personne” ? Ce type de pensées négatives peut vous empêcher de chercher une solution à un problème. Lorsque vous pensez que VOUS êtes le problème, il n’existe pas de solution et vous resterez impuissante face à la situation que vous vivez. À l’inverse, lorsque vous prenez conscience que cet événement fait partie de la vie et qu’il arrive que certaines choses échouent, alors vous êtes plus disposée à trouver la solution pour vous sortir de là. 5. Kintsugi L’art de la résilience Le Kintsugi est un art japonais qui consiste à réparer un objet en céramique en saupoudrant les fêlures d’or, pour les souligner. C’est également une métaphore qui explique que nous sommes parfois “brisé” par certains événements, mais que nous n’avons pas besoin de les cacher ou de faire comme si de rien n’était. Parfois ces blessures dont on peut voir les cicatrices sont aussi des marques de courage, de force et de résilience. Nous pouvons être brisé par certaines épreuves de la vie, mais ce n’est pas la fin du chemin, nous devons prendre le temps de ramasser les morceaux, peut-être en les redécouvrant sous un autre angle, puis de les replacer un à un avec patience en permettant à notre corps et à notre esprit de guérir et se réparer. Nous ne sommes pas parfaits, ni invincibles, chaque cassure ou fêlure sera alors l’occasion de vivre un changement, peut-être de penser et composer différemment sa vie, d’être meilleure. Cela vous permet progressivement de faire la paix avec votre passé et envisager l’avenir sereinement. Pour aller plus loin Kintsugi – L’art de la résilience, de Céline Santini. Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager avec votre entourage ! Vous avez apprécié l'article ? Notez-le ! Noté pour 46 votes Nous sommes désolé que cet article ne vous ait pas plu ! Comment pouvons-nous l'améliorer ? Merci pour votre retour ! The following two tabs change content articles Jeune hypnothérapeute passionné de développement personnel, je vogue sur le web pour vous transmettre les meilleures méthodes pour changer de vie. Visez l'excellence, et renouez aujourd'hui avec votre fabuleux potentiel ! 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Cevendredi 26 août, elle jouera à l’extérieur, indiscutablement. Marlène Schiappa se rendra à Châteauneuf-sur-Isère, dans la Drôme, dans le cadre de l’université
Ils ont choisi de travailler moins... quitte à gagner moins. Pour s’occuper de leurs enfants, planter des fleurs, s’investir dans une association ou, comme Frédéric et Laure, profiter de la vie. Ce jeune couple, qui avait détaillé son porte-monnaie sur Rue89, expliquait avoir fait le choix de vie » de travailler moins pour avoir plus de temps. Ils répètent d’ailleurs à l’envi le mot temps ».La suite après la publicité Laure est salariée à 80% dans la fonction publique et Frédéric, au chômage, ne cherche pas systématiquement des contrats mais s’occupe des enfants, retape la maison et jardine. Ils vivent modestement » avec 2 320 euros par mois, sans chercher à gagner plus ». En France, les salariés bossent en moyenne 39 heures par semaine Insee, 2012. Depuis 1950, la baisse de la durée du travail, observée dans tous les pays développés, s’accompagne de la hausse du travail à temps partiel 18,7% en France, en 2011. Qu’il soit voulu ou subi un tiers des salariés à temps partiel déclarent n’avoir pas trouvé mieux. Ceux qui ont répondu à l’appel à témoins de Rue89 ont un jour décidé de diminuer le nombre d’heures de travail pour faire autre chose. La décision se prend souvent à deux car, comme dans le cas de Sylvain, elle a des conséquences sur le budget d’un couple. Est-elle pour autant tenable à plus long terme ? suite après la publicité 1Charlie, 28 ans Les fins de mois sont délicates » A 20 ans, je suis parti en Angleterre où j’ai eu un coup de foudre pour une Polonaise. On a travaillé dans des palaces, de 21 à 25 ans – j’étais chef de rang et sommelier. On gagnait bien notre vie on était logés et nourris, on voyageait beaucoup. Puis on est allés en Corse, pendant deux ans. On avait un peu d’économies et on a eu l’occasion d’acheter une ferme – une très belle affaire – à côté de Périgueux, d’où je suis originaire. J’ai toujours été à fond dans la nature ; mes grands-parents étaient agriculteurs. Alors on a tout annulé et on s’est installés en Dordogne. On a rénové la ferme avec mon père et des copains pendant plus d’un an, avant d’emménager en février suite après la publicité Je ne touche plus le chômage depuis mars. Je bosse au “black” pour 300 euros, ma conjointe est à mi-temps dans le bar de mon frère pour 800 euros. Je taille les haies des voisins ou je trouve des petits boulots par copinage. Ma compagne est très écolo et végétarienne. On a des légumes, une dizaine de poules et, avec des copains maraîchers, on se débrouille pour faire des échanges... On cherche à être auto-suffisants. Avant, on ne regardait pas mais aujourd’hui, on fait parfois les fonds de tiroir les fins de mois sont délicates. Au supermarché, on regarde toujours les prix au kilo. Si nous avions conservé notre ancien mode de vie, notre fille aurait été nourrie avec Blédina et par une nounou... Nos légumes et fruits sont ultra-bio, elle est belle et jamais malade. » 2Xavier, 41 ans Je peux profiter de la vie » La suite après la publicité Au départ, c’était un concours de circonstances. Il y a deux ans, j’ai quitté un CDI à temps complet pour un nouveau travail, toujours dans l’informatique, où les salariés sont aux quatre cinquièmes. On pouvait choisir quelle journée on ne voulait pas travailler. Je perdais environ 5 000 euros par an de salaire, sans compter l’essence – au lieu de me rendre au boulot en RER, j’utilisais ma voiture. Au début c’était bizarre mais ça m’a donné un grand bol d’air. J’étais usé par mes journées de douze heures. Avec ces quatre cinquièmes, j’avais un grand week-end toutes les semaines. Mais au bout de sept mois, ils ne m’ont pas gardé. J’ai retrouvé un travail dans la finance, comme administrateur réseau, et j’ai tout de suite proposé de travailler aux quatre cinquièmes. Ils ont accepté. J’ai encore gagné en qualité de vie je suis deux jours en télétravail, deux jours dans l’ suite après la publicité Financièrement, je gagne un peu moins qu’avant mais ce n’est pas grave. J’ai un petit prêt familial qui se termine bientôt et mon épouse, plus jeune que moi, travaille à temps complet. On s’y retrouve. Pendant ma journée de libre, je fais du jardinage, du bricolage, je m’occupe de mon association... J’ai le temps de penser à ce que j’ai à faire. Le temps partiel, je ne peux pas m’en passer. Je pensais que j’allais m’ennuyer mais en fait, je peux m’occuper un peu de moi et profiter de la vie. » 3Sylvain Saïd, 47 ans Je voulais faire le vide » Aide-soignant à temps complet depuis près de vingt ans, je travaille à mi-temps depuis juin dernier. C’est en voyant passer une offre de poste de nuit dans une autre unité que je me suis décidé. La suite après la publicité J’ai eu envie de me consacrer davantage à ma vie privée, à des choses essentielles de la vie. Je voulais faire le vide de ce boulot qui est assez difficile – les conditions de travail ne s’étant pas améliorées ces dernières années. Depuis juin, je travaille sept nuits par mois, de 20h15 à 6h15, et parfois quelques nuits supplémentaires pour remplacer des collègues malades. Mon salaire a été divisé par deux je gagnais 1 500 euros net, je touche aujourd’hui un peu plus de 800 euros. Forcément, je fais un peu plus attention. Je paie les charges, le crédit de ma maison mais je vis quand même “aux crochets” de ma compagne, qui est prof et qui élève des vaches sur l’Aubrac. Ma perte de revenus, si je n’avais pas eu en septembre de bugs de prélèvements qui ont entraîné des rejets bancaires et des frais exorbitants, est largement compensée par une vie emplie de joies du quotidien. Je fais de la musique, je compose, je m’occupe des vaches de ma compagne, j’écris... »La suite après la publicité 4Perrine, 28 ans Commencer une formation en menuiserie » J’ai choisi il y a un an de travailler moins et de gagner moins pour reprendre une formation en... menuiserie. J’ai travaillé pendant environ deux ans à temps plein dans une entreprise qui donne des cours du soir en information-communication. Le travail de bureau me pesait énormément et je ressentais le besoin de faire autre chose, de plus créatif, de plus manuel, plus technique... et surtout, plus utile ! J’avais l’impression qu’il me manquait quelque chose. Devant un reportage sur une fille menuisière, ça a été le déclic. J’ai hésité pendant des mois et mon compagnon m’a convaincue en septembre 2012, j’ai commencé une formation en suite après la publicité Je ne pouvais pas me permettre financièrement d’abandonner mon boulot je suis donc passée aux quatre cinquièmes – je n’ai pas pris de gros risques. Un jour par semaine, je suis en stage non rémunéré chez un menuisier. J’ai aussi deux soirées de cours. J’ai trouvé un meilleur équilibre. Je ne considère pas cette activité comme du travail je le fais avec plus de plaisir que le bureau. Ça m’a donné un bol d’air. Au début, c’était une intuition, c’est devenu une passion. La différence de salaire entre un temps plein et les quatre cinquièmes n’est pas énorme. J’étais à 1 600-1 700 euros net, je suis passée à 1 400 euros. Je fais un peu plus attention moins de restos, moins de sorties... Et puis, en décembre dernier, j’ai perdu mon emploi. Paradoxalement ça a été un soulagement enfin du temps pour faire d’autres choses, plus intéressantes ! Même si c’est difficile pour moi, le chômage. J’aimerais maintenant trouver une activité épanouissante qui pourrait me rapporter un revenu suffisant pour vivre. »La suite après la publicité 5Marie, 33 ans Le temps libre, une richesse quand on en profite » Je suis enseignante en maternelle. Quand j’ai eu mon premier garçon, fin 2010, j’ai repris à mi-temps pour une question d’organisation je ne voulais pas qu’il rentre trop tôt en crèche. A la rentrée 2011, je suis passée à 75%, ce qui me permettait de mieux m’organiser avec ma classe. Je m’y retrouve bien. Avec mon mari et mes enfants, on a beaucoup plus de temps pour passer des moments ensemble. Les parents n’ont pas toujours le choix mais en tant qu’enseignante, je vois des enfants qui enchaînent garderie et école et qui sont épuisés. Je ne voulais pas ça pour les miens. Je ne dis pas que je ne reprendrai pas un jour à temps plein mais pour l’instant, c’est un bon suite après la publicité Mon mari est indépendant mais il cherche un emploi de salarié, pas forcément à temps plein. A presque 50 ans, il a une expérience de vie très intense – il avait deux activités. Il dit qu’il n’était pas plus heureux avec plus d’argent. On se rend compte que passer du temps avec nos enfants, c’est bien pour eux et pour nous et on est aussi plus dans une optique de développement personnel. On gagne en qualité de vie. D’un point de vue financier, la différence entre un mi-temps et un 75% n’est pas énorme je touche 1 350 euros, contre 1 750 euros à temps plein. On a fait des concessions pour réduire notre train de vie on est moins partis en vacances, on a réduit les loisirs... pour au final passer plus de temps ensemble. Comme j’ai un enfant en bas âge, je reste souvent à la maison, le vendredi je fais du ménage, je bouquine... Ça me permet de m’avancer pour me libérer complètement le week-end. Je pense que le temps libre, c’est une richesse qui s’apprécie quand on en profite. Pas pour faire des choses en plus, mais plutôt pour ne pas courir tout le temps. »
Réponse(1 sur 8) : C'est la grande question. Le passé, on le connait, même si on ne sait pas où il est. Le présent, on le connait aussi, on sait où il est. Mais le futur ? Est-ce qu'il existe déjà quelque part, dans l'avenir, à nous attendre ? Ne sommes